Une hypothèse qui rejette la vision traditionnelle du cerveau. Dans cette hypothèse, le cerveau est un composant d’un système plus large qui inclut le corps et l’environnement, deux facteurs critiques dans la formation de nos pensées, émotions et comportements. Nos images mentales sont « incarnées », ou enracinées, dans l’état physique du corps et sa relation avec l’environnement. De ce point de vue, ils sont étroitement liés aux systèmes sensoriels et moteurs du cerveau.